jeudi, janvier 01, 2015

La dépression, due à une inflammation ?

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La dépression, due à une inflammation ?
Des réactions inflammatoires dans l'organisme, notamment favorisées par l'obésité, entraînent des modifications de l'équilibre des neurotransmetteu...

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dimanche, décembre 28, 2014

Et si l’apocalypse venait d’ailleurs ?

http://m.planet.fr/high-tech-et-si-lapocalypse-venait-dailleurs.750157.1506.html

mercredi, décembre 24, 2014

Les E.T. sont des super IA : l'idée est ...

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Les E.T. sont des super IA : l'idée est très ancienne !
L’engouement récent autour des propos tenus lors d’un colloque d’exobiologie en septembre 2014 par la philosophe Susan Schneider et l'astronome Set...

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lundi, décembre 22, 2014

Les spécialistes prêtent aux extraterrestres...

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lundi, décembre 01, 2014

Le mystérieux disque de Phaistos enfin déchiffré ?



Les inscriptions sur le disque crétois, qui résistent à tout décryptage depuis un siècle, reproduiraient une prière destinée à la divinité principale de la civilisation minoenne.


Envoyé depuis Windows Mail

dimanche, novembre 30, 2014

Le pouvoir de la méditation sur les blessures du corps - Le Point - MSN Actualité

Contrôler les gènes par la pensée, c'est...

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Contrôler les gènes par la pensée, c’est possible !
Des chercheurs suisses ont développé une méthode permettant à des ondes cérébrales de contrôler l'expression d'un gène en protéine. Dans l'avenir, ...

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jeudi, novembre 27, 2014

Un livre de rituels magiques égyptiens déchiffré...

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Un livre de rituels magiques égyptiens déchiffré
SCIENCE - Vous vous demandez comment faire tomber amoureux la personne que vous convoitez? Comment faire partir un esprit malin? Ou comment soigner...

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mercredi, novembre 26, 2014

Comment la Chine fabrique ses futurs génies...

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Comment la Chine fabrique ses futurs génies
L'empire du Milieu a l'ambition de devenir une grande puissance biotechnologique. Et son fleuron, le Beijing Genomics Institute, veut séquencer l'A...

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samedi, novembre 08, 2014

Aveugle, elle recouvre la vue en se cognant la tête contre une table

http://www.sciencesetavenir.fr/sante/20141103.OBS3944/aveugle-elle-recouvre-la-vue-en-se-cognant-la-tete-contre-une-table.html

vendredi, novembre 07, 2014

Communiquer de cerveaux à cerveaux est désormais...

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Communiquer de cerveaux à cerveaux est désormais possible
Parfois les mots nous manquent pour expliquer les choses. Et si nous pouvions communiquer directement de cerveau à cerveau sans avoir besoin du lan...

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Le travail décalé accélèrerait le vieillissement...

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Le travail décalé accélèrerait le vieillissement cognitif
Travailler pendant des années en horaires décalés, notamment la nuit, accélère le vieillissement cognitif, selon une étude franco-britannique. Les ...

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mercredi, juillet 02, 2014

La génétique brise le mythe du yéti

Il défraie la chronique depuis des lustres. Qu’on l’appelle yéti comme dans l’Himalaya, bigfoot et sasquatch aux Etats-Unis, ou almasty dans le Caucase, cet être légendaire, mi-homme mi-animal, n’avait jamais été l’objet d’études scientifiques solides. C’est désormais chose faite. Une analyse d’ADN de 30 échantillons de poils de plusieurs continents lève le voile sur le yéti. S’il existe bien un étrange animal, qui pourrait être un ours préhistorique, dans l’Himalaya, les autres créatures ne sont que des espèces connues.

«Il y a trois ans, le généticien Brian Sykes, de l’Université d’Oxford, est venu me voir, raconte Michel Sartori, le directeur du Musée zoologique de Lausanne, qui cosigne les travaux publiés aujour­d’hui dans la revue britannique Proceedings of the Royal Society B. Il voulait consulter les archives que le zoologue Bernard Heuvelmans a léguées au musée.» Décédé en 2001, celui-ci est considéré comme le fondateur de la cryptozoologie, l’étude des espèces dont l’existence n’est pas prouvée de manière irréfutable. En 2012, après avoir consulté ces archives, Brian Sykes propose à Michel Sartori d’extraire et analyser l’ADN d’échantillons de poils attribués à d’hypothétiques yétis. Un appel est lancé sur Internet, et les échantillons affluent.

«Faute de disposer de la racine du poil, qui permet d’extraire de l’ADN du noyau des cellules, Sykes a mis au point une technique d’analyse de l’ADN mitochondrial, après un nettoyage très soigné pour éviter toute contamination humaine pendant les manipulations», explique Michel Sartori. Au cours de sa croissance, le poil conserve des mitochondries «mortes», un élément interne de la cellule qui contient un peu d’ADN exclusivement transmis par la mère. Le duo se rapproche d’un spécialiste de médecine légale, l’Américain Terry Melton, un expert en cryptozoologie, Rhettman Mullis, et le guide de haute montagne d’Annecy Christophe Hagenmuller, qui a collecté deux échantillons auprès de villageois du Ladakh (dans l’Himalaya indien) et du Bhoutan.

Ces deux échantillons créent la surprise. «Cela a fait l’effet d’une bombe et nous avons refait les analyses, se souvient Michel Sartori. Car ces deux poils correspondent à l’ADN d’un ours polaire du pléistocène. Il s’agit bien sûr de résultats préliminaires, et il faudrait trouver des spécimens vivants de ces animaux pour étudier l’ensemble de leur ADN.» En l’état, Michel Sartori et ses collègues émettent une hypothèse: ces deux «yétis» appartiendraient à une même espèce hybride qui serait apparue dans les régions polaire du globe. Le résultat d’un accouplement entre une ourse polaires et un ours brun, il y a 150 000 à 200 000 ans. L’espèce aurait ensuite migré à travers l’Asie, jusqu’à l’Himalaya.

«De tels hybrides, capables de se reproduire, sont rares mais il en existe, par exemple sur les îles de l’Amirauté, dans le détroit de Béring, justifie Michel Sartori. De plus, nous avons comparé ces deux ADN avec celui prélevé sur une mâchoire vieille de 130 000 ans, découverte en 2004 au Svalbard (Norvège), et la correspondance est parfaite.» En résumé, l’Himalaya abriterait donc bien une espèce d’ours non décrite, mais qui n’a rien à voir avec l’homme. C’est d’ailleurs ce qu’avait conclu l’alpiniste italien Reinhold Messner, qui, après l’avoir aperçu lors d’une expédition en 1986, lui avait consacré un livre douze ans plus tard.

Dans Tintin au Tibet (1960), Hergé a été inspiré par son ami Bernard Heuvelmans: son abominable homme des neiges ne ressemble pas à un ours, mais sa fourrure est brune, comme celle de l’animal empaillé présenté à Christophe Hagenmuller, dans le Ladakh. «Le chasseur qui l’avait tué lui avait expliqué que cet animal était beaucoup plus agressif que l’ours brun», raconte Michel Sartori.

Les 28 autres échantillons analysés risquent de faire grincer des dents. Récoltés en Russie, au Népal, à Sumatra et surtout aux Etats-Unis, ils correspondent à un véritable inventaire à la Prévert. Les poils d’almasty? Ils appartiennent à deux ours bruns, un ours noir, une vache, trois chevaux et un raton laveur. Le yéti népalais s’avère être un capricorne, une espèce proche de la chèvre. Le prétendu orang pendek de Sumatra n’est autre qu’un banal tapir. Quant aux échantillons provenant de six Etats américains, ils ne sont pas en reste: un raton laveur, un mouton, un cerf, un cheval, des ours noirs, des canidés (loup, coyote ou chien), des vaches… et un humain.

Ces résultats ne feront pas les affaires de la vétérinaire américaine Melba Ketchum, de la firme texane DNA Diagnostics, qui prétend que son équipe détient des preuves génétiques irréfutables que le bigfoot est l’hybride d’une femme et d’un primate non humain. Ses travaux n’ont jamais été publiés dans une revue sérieuse, et les échantillons ainsi que les résultats de ses analyses d’ADN sont conservés au secret. En 2013, après avoir été refusés par de grandes revues scientifiques, ils étaient apparus dans un étrange journal en ligne, De Novo, doté d’un site internet créé neuf jours plus tôt. Une «revue» qui n’a jamais publié d’autres travaux…

La communauté scientifique n’a jamais pris ces résultats au sérieux, faute de pouvoir les étudier de près et refaire les analyses. «Les séquences d’ADN que nous avons obtenues ont été rendues publiques dans la GenBank, et nous avons versé nos échantillons de poils dans les archives Heuvelmans du musée. Ils sont à la disposition de toute équipe sérieuse qui voudrait les réétudier; c’est comme cela qu’on fait de la bonne science», insiste Michel Sartori, qui ne croit pas une seconde que ses propres travaux feront taire la polémique sur l’existence d’un être mi-humain, mi-singe.

Sur Internet, certains expliquent déjà que les résultats de son groupe auraient été retardés voire maquillés à la demande du gouvernement américain. «Il y en a même pour dire que la mâchoire du Svalbard est celle d’un homme-singe et donc que l’ours hybride de l’Himalaya en est un aussi…»

http://www.letemps.ch/

vendredi, décembre 13, 2013

Chimères: j’ai deux ADN en moi - Bruno Mancusi

Bruno Mancusi
12 déc. (Il y a 1 jour)
 

 
Chimères: j’ai deux ADN en moi
Certains humains portent deux ADN en eux. On les croyait rarissimes, on découvre que c’est assez courant. Qu’est-ce que cela change pour la médecine légale et pour la définition de l’identité?
Nic Ulmi

Une personne avec deux ADN dans un seul corps. Un être qui, génétiquement, est à la fois lui-même et quelqu’un d’autre. Un monstre, si vous voulez. Mais suffisamment répandu, contrairement à ce qu’on croyait, pour que cette monstruosité se révèle être d’une troublante banalité. Affublées d’un nom mythologique qui en décuple la fascination, objet d’un buzz naissant dans le monde de la génétique, les chimères balaient l’équation sur laquelle on croyait pouvoir se reposer: un individu, un génome, liés l’un à l’autre en exclusivité. Un code génétique comme une signature. Un lieu irréductible de notre individualité. Eh bien, pas toujours.

Le terme est emprunté aux mythes grecs. La Chimère a une tête de lion, un corps de chèvre, une queue de serpent. Elle a aussi une descendance: dans la version d’Hésiode, elle s’accouple avec le chien Orthos (qui est bicéphale), donnant naissance au Sphinx (tête et poitrine de femme, corps de lion, ailes d’oiseau) et au Lion de Némée. Prouesses de la génétique antique.

«Les chimères de la mythologie sont des constructions par morceaux. Comme le dieu égyptien Horus, qui a une tête de faucon sur un corps d’homme. Les chimères réelles, elles, sont un mélange poivre et sel, indiscernable, total», explique Denis Duboule, spécialiste de la génétique du développement à l’Université de Genève et à l’EPFL, et créateur de souris chimériques en laboratoire.

Dans la vraie vie, la plupart des chimères ignorent qu’elles le sont. Un incident vient parfois révéler leur dualité. En 2002, l’Américaine Lydia Fairchild demande une aide financière à l’Etat de Washington. Un test d’ADN s’ensuit, procédure standard. Résultat: on déclare que ses enfants ne sont pas les siens et on traîne la jeune femme en justice pour fraude à l’assistance sociale. Au cours de la procédure, le procureur tombe par chance sur un article du New England Journal of Medicine, qui raconte une histoire semblable et déroutante. Il s’agit cette fois d’une Bostonienne aisée, Karen Keegan, qui se soumet à un test de compatibilité en vue d’une transplantation d’un rein et se voit révéler que deux de ses enfants ne sont pas les siens. La maternité de l’hôpital aurait-elle échangé les bébés? Karen serait-elle une mère adoptive sans le savoir? Quelques examens plus tard, la mère découvre qu’elle est une chimère. Comme Lydia, elle a un génome double parce qu’elle a fusionné in utero avec son jumeau…

«Une chimère peut se développer de deux manières. L’une est pour ainsi dire mineure: c’est le transfert de matériel génétique ­entre la mère et le fœtus. Le placenta est fait pour empêcher ces échanges, mais cela se passe quand même assez souvent. Des cellules échangées continuent à se reproduire, et vous vous retrouvez avec un chimérisme dans le sang. Celui-ci existe peut-être chez tout le monde. Nous serions tous des chimères… Ça, c’est le côté ordinaire, pedestrian, comme disent les Anglo-Saxons. La vraie, la belle chimère, ce sont de faux jumeaux qui fusionnent. Si cette fusion est bien faite, chaque organe est un mélange des deux. Si elle est inégale, elle portera sur une petite partie de l’individu, un ou deux organes», explique Denis Duboule.

Les histoires de Karen et Lydia donneront lieu à un documentaire (I Am My Own Twin, «Je suis mon propre jumeau») et à une belle descendance dans la fiction. En 2004, la série TV Les Experts met en scène un violeur qui trouble la justice, car son sperme contient un autre ADN que sa salive (saison 4, épisode 23). Michael Crichton (Next, 2006) et la série Dr House (saison 3, épisode 2) mettent également de la chimère dans leurs intrigues. Et en 2010, l’auteure de polars et anthropologue judiciaire Kathy Reichs – adaptée dans la série TV Bones – publie Les Traces de l’araignée: «Harriet Lowery était une chimère. Elle avait un œil marron et un œil vert. Et des lignes de Bla­schko», s’exclame un personnage.

Lignes de Blaschko? «Ce sont des raies de couleurs dans le dos, qui peuvent apparaître lorsque les cellules qui déterminent la pigmentation de la peau ont des génomes différents. Il y a des animaux rayés de cette manière. Il existe peut-être dix cas décrits dans la littérature scientifique. Mais la population humaine est très grande et on se regarde tous. Tout se voit, tout se sait, même un événement très peu fréquent devient visible: c’est la plus grande expérience biologique jamais conduite!» reprend Denis Duboule.

Loin de ces cas spectaculaires, le chimérisme est muet dans la plupart des cas. Il s’exprime dans le silence des gènes, sans effets somatiques. «Peut-être dans quinze ans regarderons-nous en arrière en disant: voilà ce qui se passe et à quelle fréquence – mais sans conséquences, comme un simple bruit de fond. Si j’en étais certain, je n’étudierais pas ce sujet. Mais en ce moment, au contraire, c’est un champ brûlant», explique Alexander Urban, généticien à l’Université Stanford, Californie, engagé dans des recherches sur les variations de génome dans le cerveau.

Justement, pourquoi en parle-t-on? «La question flottait dans la littérature depuis quarante, cinquante ans. Maintenant, on peut enquêter. Lors du premier séquençage d’un génome humain, l’opération prenait dix ans et coûtait 3 milliards de dollars. Aujourd’hui, on le fait en une semaine pour 3000 dollars. Si vous me demandez pourquoi on fait cela, je réponds: because we can», réplique Alexander Urban.

La terminologie flotte encore un peu, mais on considère généralement le chimérisme comme un cas particulier d’un phénomène de mélange plus large, lequel est également plus répandu qu’on ne le croyait. «Toutes les cellules d’un organisme, selon les manuels de biologie, sont censées contenir le même ADN. Il y a deux phénomènes, souvent confondus, dans lesquels un sous-ensemble de cellules n’a pas le même génome que les autres. D’une manière générale, cela s’appelle «mosaïcisme». Des cellules peuvent acquérir ces différences génétiques par mutations. Si le phénomène résulte de la fusion de deux œufs fécondés dans l’utérus, on parle en revanche de chimérisme. Les raisons de cette fusion ne sont pas encore connues. C’est le phénomène inverse de celui qui donne lieu à la gémellité», résume Alexander Urban. Zygote qui se scinde en deux: vrais jumeaux. Faux jumeaux qui fusionnent à l’état de zygotes: chimère…

Les chimères des polars et des séries télé soulèvent avant tout des questions légales. «Vous pouvez vous tromper. Vous faites un test de paternité et, manque de bol, la racine d’un cheveu à l’avant du crâne à gauche n’a pas le même ADN qu’une autre qui se trouverait à droite. Sans doute résoudra-t-on ce problème en édictant de nouvelles normes, avec trois prélèvements obligatoires à des endroits différents du corps, par exemple», suggère Denis Duboule.

Au-delà de ces questions, c’est la notion d’individu qui est secouée. «C’est ça qui résonne, qui pose un problème fondamental à la philosophie. Si vous êtes une chimère, êtes-vous un ou deux? On pourrait même demander: si à la conception vous étiez deux, avez-vous deux droits de vote? Tout cela s’inscrit dans l’entreprise de déconstruction scientifique des grands dogmes qui fondent notre société. C’est pour cela qu’on voit ressurgir les intégrismes», réfléchit le chercheur. Il existe, au passage, un enjeu pratique pour la science et la médecine: «Si on considère qu’en tant que chimère, vous n’êtes pas deux, qu’est-ce que cela dit sur les deux embryons lors de leur fusion – et qu’est-ce que cela change pour le statut de l’embryon? Suite à cette réflexion, les Anglo-Saxons ont proposé le concept de pré-embryon, portant sur les quatre, cinq jours avant que la porte soit fermée aux soustractions et additions de matériel génétique. Du point de vue légal, cela permet de faire des choses telles qu’un diagnostic génétique préimplantatoire dans la fécondation in vitro, pour lequel on se bat en Suisse.»

Last but not least, une chimère peut être intersexuée: présenter un degré d’hermaphrodisme, comme on disait autrefois. Denis Duboule: «C’est vrai, si la fusion concerne un embryon femelle et un embryon mâle. Mais il y a d’autres façons de bricoler le sexe des gens, par exemple en administrant de la testostérone. Le sexe est quelque chose de beaucoup plus flexible qu’on ne le croit. On n’a pas les hommes d’un côté et les femmes de l’autre, mais plutôt une sorte de continuum. Tout cela dérange. Comme tout ce qui n’est pas noir ou blanc.»

http://www.letemps.ch/


__._,_.___


Le site de l'association des amis de Jacques Bergier:

http://groups.yahoo.com/group/JacquesBergier

Le meilleur site sur Jacques Bergier:  http://www.claudethomas.net/bergier.htm
Le site de Pierre Fabre: http://skulls.monsite.wanadoo.fr/
Blog RICHARD D. NOLANE:http://millenaire.blogspot.com/
Le site officiel de Claude Seignolle, le Seigneur de Sologne: http://www.heresie.com/seignolle
Site Web de l'ODS:http://www.oeildusphinx.com/
Yves Lignon http://geepp.or3p.free.fr
http://og-ventaja.zip.net

http://www.levif.be/info/actualite/sante/adn-decouverte-d-un-second-code-genetique/article-4000473551512.htm

http://www.levif.be/info/actualite/sante/adn-decouverte-d-un-second-code-genetique/article-4000473551512.htm

mardi, octobre 15, 2013

Qualcomm veut imiter le cerveau humain sur ses processeurs

http://www.gizmodo.fr/2013/10/14/qualcomm-cerveau-humain-processeurs.html

Qualcomm développe une nouvelle gamme de processeurs qui visent à imiter les capacités biologiques humaines du cerveau et plus généralement du corps.
Ce n’est pas une nouveauté, de nombreuses équipes de recherches planchent sur la conception de dispositifs de cet acabit. En revanche, pour Qualcomm, ce n’est pas seulement une tentative visant à imiter l’intelligence humaine, mais plutôt une volonté de reproduire la biologie sous-jacente qui anime notre comportement. Du reste, la marque veut fourrer ces complexes calculs dans une puce qui s’adaptera à votre téléphone.
Traditionnellement, les chercheurs tentent de reproduire les cerveaux avec des algorithmes qui usent et abusent de supercalculateurs massifs. C’est bien beau, mais Qualcomm veut construire une toute nouvelle architecture de processeur, prenant en compte la limite de taille inhérente aux smartphones.
Précisons. Qualcomm illustre ce qu’ils appellent «l’apprentissage d’inspiration biologique», qui tend essentiellement à reproduire le processus d’apprentissage des êtres humains. De ce fait, les chercheurs ont développé un modèle de réseau qui fonctionne en émettant des impulsions électriques, un peu comme les neurones humains.
A l’aide de renforcement positif, les robots sont capables de répondre intelligemment aux stimuli et d’apprendre à faire de nouvelles choses, même si elles n’ont jamais été explicitement dites.
Aujourd’hui, tout cela ressemble à un projet de science presque amusant, mais l’idée est qu’à l’avenir, ces appareils soient capables de littéralement anticiper nos besoins… Un jour, votre smartphone pourra être en mesure de détecter que votre taux de sucre dans le sang est sur ​​le point de toucher le fond et ensuite, vous dire de manger une pizza.
Bienvenue dans le futur.

mercredi, octobre 09, 2013

L'extrême en vidéo : la Louisiane aspirée par la Terre depuis un an

http://www.futura-sciences.com/magazines/terre/infos/actu/d/geologie-extreme-video-louisiane-aspiree-terre-depuis-an-49485/#xtor=AL-27-1[ACTU]-49485[L-extreme-en-video-:-la-Louisiane-aspiree-par-la-Terre-depuis-un-an]

La Louisiane est confrontée à l’une des pires catastrophes industrielles du monde. Depuis août 2012, son sol s’affaisse. Ce qui était un simple marais voilà à peine plus d’un an est aujourd’hui une étendue d’eau de plus de 100.000 m2, sous laquelle un immense trou continue de s’agrandir…




Le 09/10/2013 à 14:33 - Par Delphine Bossy, Futura-Sciences



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La doline de Bayou Corne s'est formée en août 2012, et elle continue de s'agrandir depuis. © Governor's Office of Homeland Security and Emergency Preparedness, DP





LancerStopperFermerL'extrême en vidéo : la Louisiane aspirée par la Terre depuis un an - 2 Photos< >



Share on printPDF Share on emailAu sud de Bâton-Rouge, capitale de la Louisiane, le paysage change de jour en jour. Au cours du mois d’août 2012, la Terre a commencé par lâcher quelques gaz, dont on pouvait apercevoir les bulles jaillir du marais de Bayou Corne. Puis peu à peu, cette étendue d’eau s’est élargie, et le sol s’est fait littéralement absorber par les entrailles de la Terre. Aujourd’hui, cet étrange phénomène continue d’aspirer le décor, la preuve en vidéo.





John Boudreaux effectuait une promenade de surveillance, après avoir observé des dégazages et secousses, lorsqu'il fut témoin de cet affaissement. © assumptionla, YouTube



La vidéo décryptée : trop d'extraction de saumure pour Napoleonville

Cela fait maintenant plus d’un an que le sol est actif à Bayou Corne. D’abord, il y a eu des dégazages de méthane. Les autochtones pensaient qu’il s’agissait de la fuite d’un pipeline, mais le 3 août 2012, la terre s’est effondrée sur elle-même, formant un trou de près de 100 m de diamètre et de plus de 50 m de fond. Une gigantesque doline s’est formée sous un lopin de terre qui appartient à la Texas Brine Company. Le 21 août 2013, John Boudreaux, directeur du bureau local de la Sécurité intérieure et de la Protection civile, se rendait sur le site, alerté par des tremblements et dégazages survenus plus tôt. La doline s’apprêtait à s’agrandir et il en fut l’un des rares témoins.



Cette doline est dite d’effondrement. Elle est due à la chute du toit des cavités, résultant de la dissolution des roches salines et des gypses. Cela survient en particulier dans la zone de battement d’une nappe phréatique. Actuellement, on ne peut dire ce qui a généré la doline géante de Louisiane, mais de forts soupçons planent sur le rôle de l’exploitation industrielle du site. Bayou Corne est situé juste au-dessus du dôme salin de Napoleonville, trace de l’océan qui occupait la région avant le Jurassique. Les dômes salins sont fréquents dans la région, ils ont été extrudés sous la pression des roches qui se sont déposées durant le Jurassique, le Crétacé et le Miocène.





Le dôme salin de Napoleonville est composé d'halite (en bleu sur l'image). Un dôme salin est extrudé (formé par pression) jusqu'à la surface terrestre en raison de la pression exercée par les couches rocheuses accumulées sur la couche d'halite. La légende est en espagnol : Mioceno (Miocène), Cretácico (Crétacé), Jurásico (Jurassique), Arcillas y yesos (argiles et gypse), Halita (halite). © Heriberto Arribas Abato, Wikimedia, cc by sa 3.0



Les extractions de la saumure ont démarré en 1982. Des puits ont été creusés sur le dôme et l’on y injectait de l’eau douce pour pomper la saumure. Mais le dôme est entouré de gaz naturel et de pétrole, et lorsque le puits Oxy Geismar 3 a vu le jour, les industriels n’ont jamais réussi à atteindre les pressions escomptées dans celui-ci, si bien qu’il a fallu le reboucher. Il a été rempli de saumure et d’eau, puis cimenté en 2011. Au bout d’un moment, le bord ouest du puits s’est effondré, et de la boue et des roches ont pris place dans les espaces vacants de la cavité, et ont libéré le gaz naturel piégé. Les événements se sont enchaînés et la doline se serait ainsi formée.



L’après-vidéo : une catastrophe incontrôlable

En août 2012, 350 personnes ont été évacuées du site. Lorsque la doline s’est formée, elle ne faisait que 100 m de diamètre, aujourd’hui plus de 100.000 m2 de terrain sont dévastés. Le trou continue de s’étendre et personne ne peut dire avec certitude quand le sol arrêtera de s’affaisser. Le site est sous haute surveillance, à chaque dégazage ou secousse sismique, les autorités sont sur le qui-vive. L’événement du 21 août 2013 est survenu après une longue période de calme à Bayou Corne, mais d’après les géologues, la doline n’a pas fini de s’agrandir.



Le principal danger de l’agrandissement de cette doline réside dans le fait que le dôme salin est voisin d’une couche de pétrole et de gaz naturel. Des bulles de méthane, puissant gaz à effet de serre, remontent régulièrement à la surface. La Texas Brine Company a installé plusieurs puits, au bout desquels le méthane brûle. D’autres sont à venir, mais jusqu’à quand faudra-t-il surveiller le site ? Dans le monde entier, le nombre de dolines croît, en raison de l’activité humaine. Le pompage effréné des nappes phréatiques, l’utilisation intensive des sols ou l’érosion des couches de surface sont autant d’activités qui rendent le sol poreux et donc fragile. La Louisiane est aujourd’hui considérée comme l’exemple à ne pas suivre.



Maximilian, le surdoué qui fait rêver la Suisse

http://www.scilogs.fr/l-actu-sur-le-divan/maximilian-le-surdoue-qui-fait-rever-la-suisse/

Cet enfant a dix ans. Il vient de passer son bac, et a obtenu la meilleure note en mathématiques. Il va maintenant entrer à l’Université. Et bien sûr, les médias ne parlent que de lui :






Evidemment, on crie au surdoué. Il faut dire que son cerveau n’est probablement pas tout à fait comme le vôtre ou le mien… Mais peut-on aller chercher les traces de l'intelligence dans la matière grise ? Les travaux de certains spécialistes du cerveau ont suggéré que l’épaississement progressif de l’écorce cérébrale serait liée au développement de l’intelligence. Philip Shaw et ses collègues du NIH du Maryland ont ainsi observé que le cortex cérébral s’épaissit davantage chez les enfants ayant un quotient intellectuel compris entre 121 et 145, que pour ceux ayant un quotient intellectuel compris entre 109 et 121, lesquels sont au-dessus de 83 à 108.



Mais qu’est-ce qui rend compte de ces modifications ? Un facteur génétique spécial ? Un environnement favorisant ? Les deux, probablement. L’intelligence semble être une des facultés cognitives les plus héritables génétiquement. La corrélation des quotients intellectuels entre deux jumeaux est de 0,8 (très forte corrélation) alors que celle de deux « faux jumeaux » n’est que de 0,6. Ce qui veut dire que les gènes (totalement identiques chez les vrais jumeaux, seulement en partie chez les faux) jouent un rôle notable. Quant à l’environnement du garçon, il suffit d’entendre son père parler, pour comprendre qu’il est tombé dans la potion tout petit.



Le culte des génies

Mais au-delà des capacités mentales pures de l’enfant, comment analyser notre fascination pour ces surdoués, et que penser de la vie qu’on leur fait mener ? Car ce n’est pas la première fois que l’on exhibe ainsi devant les caméras ces phénomènes. Par exemple, cette jeune fille étonnante, au Q.I. présenté comme supérieur à celui d’Einstein :





Là, on est en train de verser dans l’idolâtrie de caste. Car on retrouve au passage la mention du cercle Mensa, club international regroupant des personnes obtenant des scores parmi les 2 pour cent les plus élevés aux tests d'intelligence. Comme si l’intelligence était une sorte de compte en banque. J’en ai parlé au psychologue Fabrice Bak, auteur d’un récent ouvrage sur les enfants surdoués. Voici ce qu’il m’a répondu :



« Il ne faut pas oublier que l’intelligence ne se résume pas à une simple compétence à solutionner des équations, à intégrer des techniques mathématiques et à les reproduire. L’intelligence est une globalité qui permet à quelqu’un de s’adapter à des éléments de plus en plus complexes de la réalité, tant sur le plan de la compréhension de celle-ci que des individus qui la composent… »



Eh oui, aurions-nous tendance à oublier que l’intelligence est une capacité d’adaptation à une variété de circonstances, symboliques (signes mathématiques) mais aussi humaines ? Et Fabrice Bak de s’interroger :



« Qu'en est-il donc de cet enfant qui va intégrer l'Université de Zurich avec autant d'années d'avance ? Quel est donc le sens de cette course pour l'amener à se sentir aussi décalé par rapport aux autres ? Dans une interview publiée en juillet dernier par le journal dominical SonntagsZeitung, Maximilian avouait n’avoir pas trop d’amis. «Je ne suis pas tellement spécialisé en amis», car selon lui, il est difficile d’avoir des amis de trois ans plus âgés que soi. «Je ne trouve personne avec qui je peux parler d’Archimède, et la plupart ne savent même pas qui est Gauss !!! »



Miroir narcissique des parents?

L’implication de l’entourage dans le développement de Maximilian invite évidemment à se poser des questions. Cet enfant ne s’adapte-t-il pas à un désir parental très pressant ? Quel sera son devenir - personne ne semble être en mesure de le définir.

Alors, génie par procuration, Maximilian ? Prolongement des rêves de ses parents ? Difficile de le dire. Mais une chose est certaine : ces reportages posent la question du traitement médiatique de ces petits « génies ». Et de l’association que le public pourrait être amené à faire entre « l’enfant précoce » et le cas de Maximilian. J’ai moi-même fait ce raccourci dans le titre de ce billet, en parlant d’enfant surdoué, qui est l’autre terme clinique pour évoquer la précocité. Là encore, l’avis de F. Bak permet de nuancer.



« La précocité ne se résume pas à l'utilisation de compétences sur le plan intellectuel, notamment en mathématiques. Elle est aussi associée à tout un ensemble de facteurs de la sphère affective : l’enfant est hypersensible, angoissé par la perception trop fine des incohérences du monde qui l’environne, il s‘interroge sur soi-même et sur son lien aux autres.







Dans cette perspective, la précocité se définit par rapport à une évaluation psychométrique avec des aptitudes certes intellectuelles, mais aussi tout un ensemble de vécus, de perceptions, de ressentis sur le plan de la réalité. Ramener la précocité à une simple maîtrise des données mathématiques couplées à de multiples sauts de classes est extrêmement réducteur et renvoie encore à de nombreuses personnes ayant cette spécificité, l’image de sur-sollicitations permanentes, spécifiant leur pensée et les désocialisant à l’extrême.



A bon entendeur, il serait sans doute plus salutaire de consacrer des reportages au phénomène (répandu, et actuellement problématique dans la majeure partie des cas) de la précocité, qu’à des enfants prodiges qui tournent à la tête.



Mots-clefs :cerveau, développement, Einstein, génie, héritabilité, intelligence, mathématiques, Maximilian, Mensa, pression, surdoué





3 commentaires pour “Maximilian, le surdoué qui fait rêver la Suisse”

patricedusud

09.10.2013 10:58

Répondre
Permalink Il est clair qu'il n'a pas appris tout ça tout seul et que le rôle des parents ressemble en l'occurrence à celui de ceux qui poussent leurs enfants à être des phénomènes sportifs. C'est du surentrainement associé à une désocialisation dont les conséquences peuvent être dramatiques pour l'intégration dans la société.



Baudry

09.10.2013 13:59

Répondre
Permalink Je ne suis pas du tout d'accord avec le commentaire ci-dessus. Il apparaît évident que la personne ne connaît pas ou n'a pas vécu ce qu'est être intellectuellement précoce : c'est un besoin irrépressible de se nourrir intellectuellement. Néanmoins, il s'agit d'une gestion du temps, de son intellect, et des loisirs ( incluants jeux et sports) très difficile. Par ailleurs, le décalage que l'on peut ressentir avec les autres est patent et constant, il est donc difficile de gérer cet écart. Je précise qu'ici il ne s'agit pas de la pression parentale.



Il faut distinguer deux choses :

- la précocité d'un individu

- la volonté de certains parents de pousser ou, de croire et donc pousser (au sens intellectuel et scolaire), ses enfants, et ce afin de s'en servir comme trophée et/ou objet de transfert.



Merci de distinguer les problèmes d'une part. Et d'autre part, de ne pas parler et affirmer des propos sur un sujet que de toute évidence on ne maîtrise ou connait pas .



Bien à vous

Maximilian, le surdoué qui fait rêver la Suisse

mercredi, septembre 25, 2013

Vie extraterrestre

Alors que Curiosity actuellement sur Mars peine à trouver des traces de méthane, laissant penser que la vie n'est pas présente sur Mars, le professeur Milton Wainright (University of Sheffield) a publié dans la revue "Journal of Cosmology", un article qui retrace la découverte de la première vie extraterrestre.
Ne vous attendez pas à un alien avec 4 bras et du jus de pomme qui sorte de ses glandes salivaires. Non, il s'agit de biomorphs, des petits organismes jamais vu encore sur Terre, qui se trouvent dans la stratosphère.
L'équipe du professeur Wainright a collecté ces échantillons à l'aide d'un ballon équipé de matériel stérile et voici à quoi ressemblent les "aliens" :
cosmology 1ère rencontre avec une forme de vie extraterrestre
D'après le professeur, ces organismes n'ont pas pu être rejeté par une méga-éruption volcanique et proviennent de l'espace, amené par les météorites qui entre dans notre atmosphère.
Selon lui, la vie est présente ailleurs dans l'espace et il y a de fortes chances qu'elle soit arrivée sur Terre par ce biais. J'ai cette intime conviction que la vie pullule dans l'espace mais que nous ne l'avons juste pas encore croisé. Ce genre d'info me fait donc vraiment plaisir !
Évidemment, comme toutes études, cela doit être soumis à vérifications par d'autres équipes scientifiques donc tout ceci est à prendre avec un peu de recul. Toutefois, si c'est confirmé, il s'agirait de la première véritable trace de vie extraterrestre que nous découvrons.


vendredi, septembre 20, 2013

Coma: des chercheurs observent de l'activité cérébrale encore jamais détectée

Le cerveau est un organe complexe aux processus encore méconnus. Selon les données scientifiques existantes, les chercheurs et les médecins pensaient qu'au-delà de la fameuse " flat line " (encéphalogramme plat), il n'y avait plus rien, plus d'activité cérébrale. Or, une équipe de chercheurs de l'Université de Montréal et du Centre médical Reine-Marie (Roumanie) a fait une découverte majeure qui laisse entrevoir une toute nouvelle frontière dans le cerveau animal et humain. Ils ont mis en évidence une activité cérébrale au-delà de l'électroencéphalogramme plat, qu'ils ont baptisée complexes Nu (de la lettre grecque).

Un collaborateur de Roumanie a procédé à des observations sur un patient humain qui s'est retrouvé dans un coma très profond par l'administration d'une médication antiépileptique très puissante rendue nécessaire par son état clinique. " Le Dr Bogdan Florea est entré en contact avec notre équipe de recherche, car il avait observé des phénomènes inexplicables sur l'électroencéphalogramme de ce patient dans le coma. Nous nous sommes rendu compte que dans son cerveau, il y avait de l'activité cérébrale, méconnue jusqu'alors" , raconte Florin Amzica, professeur à la Faculté de médecine dentaire de l'UdeM et directeur de l'étude.

L'équipe du professeur Amzica a alors pris la décision de recréer l'état de ce patient sur le chat, un modèle animal établi pour les études en neurologie. À l'aide de l'anesthésique isoflurane, les chercheurs ont plongé les chats dans un coma extrêmement profond - mais complètement réversible - au-delà de la ligne isoélectrique plate (flat line), correspondant au silence de la partie maîtresse du cerveau, le cortex. Ils ont observé de l'activité cérébrale chez 100 % des chats en état de coma profond, sous la forme d'oscillations engendrées dans l'hippocampe, la partie du cerveau responsable de la mémoire et des processus d'apprentissage. Ces oscillations cérébrales, inconnues jusqu'à aujourd'hui, se répercutaient jusque dans le cortex. La conclusion à laquelle les chercheurs sont arrivés est que l'onde encéphalographique observée, baptisée complexes Nu, était la même que celle observée dans le cerveau du patient humain.

Des complexes Nu au coma thérapeutique

L'élément le plus intéressant de cette découverte est le potentiel thérapeutique, la neuroprotection, de ce coma très profond. À la suite d'un traumatisme important, certains patients sont dans un état si grave que les médecins les plongent volontairement dans un coma artificiel afin de protéger le corps et le cerveau pour qu'ils puissent récupérer. Or, le Dr Amzica croit que le coma très profond expérimenté sur les chats pourrait s'avérer plus protecteur encore.

"En effet, un organe ou un muscle qui demeure longtemps inactif finit par s'atrophier avec le temps. Il est plausible de penser qu'il en est de même pour le cerveau gardé longtemps dans un état qui correspond à l'électroencéphalogramme plat, illustre le professeur Amzica. Un cerveau inactif, au sortir d'un coma prolongé, serait peut-être en moins bon état qu'un cerveau ayant eu un minimum d'activité. Des recherches sur l'effet d'un coma très profond pendant lequel l'hippocampe est actif (grâce aux complexes Nu) doivent absolument être faites pour le bénéfice des patients. "

" Une autre implication de cette découverte est que nous avons maintenant la preuve que le cerveau est capable, si l'intégrité des structures nerveuses est préservée, de survivre à un stade extrêmement profond de coma, souligne Daniel Kroeger, auteur principal de l'étude et qui poursuit actuellement un postdoctorat en neurologie à l'Université Harvard. Nous avons aussi découvert que l'hippocampe pouvait envoyer des ''ordres'' au commandant en chef du cerveau, le cortex. Finalement, la possibilité d'étudier les processus d'apprentissage et de mémoire de l'hippocampe pendant un état de coma permettra de mieux les comprendre. Bref, toutes sortes d'avenues en recherche fondamentale s'ouvrent maintenant à nous. "

L'étude "Human brain activity patterns beyond the isoelectric line of extreme deep coma", de Daniel Kroeger et Florin Amzica, du Départmement de stomatologie de la Faculté de médecine dentaire de l'Université de Montréal, et de Bogdan Florea, du Medical Centre Regina Maria (Roumanie), vient d'être publiée sur le site Web de PLOS ONE.http://www.techno-science.net/?onglet=news&news=12038

jeudi, septembre 12, 2013

Il messico rende pubblici reperti Maya che parlano di Ufo

12/09/2013

http://www.radiormt.com/index.php?option=com_content&view=article&id=4723%3Ail-messico-rende-pubblici-reperti-maya-che-parlano-di-ufo&catid=50%3Aaltre-notizie&Itemid=85

Grazie alla segnalazione ricevuta dall’amico ricercatore Daniele Dellerba del sito ANSU (Associazione Italiana Studi Ufo) riporto una notizia apparsa sul sito web messicano Fafhoo Noticias secondo il quale il governo del Messico avrebbe reso pubblici una serie di reperti di epoca Maya riguardanti Ufo ed Alieni. I manufatti, almeno apparentemente, sembrano davvero essere inequivocabili: astronauti, astronavi spaziali a forma di disco, volti alieni, comete seguite da oggetti non identificati e astronavi ad alta tecnologia in grado di intervenire probabilmente sulla traiettoria dei corpi celesti, chiari riferimenti a brillamenti solari verso la Terra… Insomma tutte manifestazioni che si riferiscono ad eventi del passato ma che risultano anche tremendamente ed inaspettatamente attuali soprattutto per ciò che riguarda le attività solari e l’avvicinarsi di comete (ISON?) oltreché, naturalmente, la continua ed incessante presenza di visitatori provenienti dallo spazio. Mi chiedo da quanto tempo il governo messicano fosse a conoscenza di questi eccezionali reperti e per quale motivo abbia deciso proprio ora di renderli pubblici: sta forse per accadere qualcosa alla quale dobbiamo essere preparati? Di cosa si tratta? Non credo dunque di dover aggiungere altro: guardate l’impressionante sequenza fotografica qui sotto e meditateci un po’ su...

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